Dimanche 4 avril : Emporté par la foule

En route pour la traversée de la baie du Mont Saint-Michel, ... les pieds nus dans la boue me rappellent Sibeirut (et la veille, alors que je ne rencontrais que des moues dubitatives à la description de mes vacances d'août dernier, tout le monde a pu apprécier "in vivo" le délice des pieds dans la ...) ...

Le vent est cinglant et heureusement nous nous sommes bien couverts "en haut" ... Premier contact avec les sables mouvants, véritables "dance floor" puis aspirateurs une fois la poche d'air percée ... les légendes sont tenaces mais volent en éclat ... à part les marées galopantes, que nous n'avons bien sur pas testées !

A l'arrivée au Mont Saint-Michel, la foule est là, bien compacte ! La rue principale est noire de monde ... La mère Poulard doit se retourner dans sa tombe ... d'autant plus que sa fameuse omelette est bien mécanisée désormais. Nous ne resterons que quelques minutes, petit temps agréable car l'environnement "mystique" est facilement perceptible pour qui a le coeur pur ... mais désagréable quand on se contente des vagues à l'âme des "gros boeufs" majoritaires !